Pour la restitution de nos travaux, et afin de situer rapidement un ancêtre dans l’arbre patronymique, plusieurs groupes d’individus ont été retenues. Il s’agit des différentes branches généalogiques. Toutes sont issues des trois mariages de Joseph-François LE GALL du TERTRE au début du XIXe siècle. Explications.
Les différentes branches de la famille LE GALL du TERTRE
Depuis les années 1720 et l’apparition du patronyme LE GALL du TERTRE, environ une centaine d’individu ont porté ce nom. Dans un premier temps peu nombreux, un certain nombre de LE GALL du TERTRE n’ayant eu ni alliance ni descendance (mortalité infantile, prépondérance de la descendance fille, etc.), la famille s’étend enfin au début du XIXe siècle.
C’est à cette période qu’il devient plus difficile de situer un individu dans notre arbre patronymique. Aussi, pour remédier à cette problématique, des groupes d’individus ont été définis. Il s’agit des différentes branches généalogiques.
Ainsi, pour la famille LE GALL du TERTRE, trois branches généalogiques ont été retenues. Elles sont issues chronologiquement des trois mariages de Joseph-François LE GALL du TERTRE (N°SOSA 00128). Enfin, ces différentes branches sont parfois désignées par le lieu de résidence constaté au début du XXe siècle :
La première branche (branche niçoise)
Les descendants de la première branche sont issus du premier mariage de Joseph-François. En 1795, Joseph-François épouse Claire Madeleine de GEOFROY. Rapidement, les relations au sein du couple sont tumultueuses. Ils se séparent dès 1799. Marie Madeleine et leur fils Louis-Joseph trouvent alors refuge auprès de Paulin de GEOFROY à Draguignan d’où est originaire la famille de GEOFROY. Fidèle à cette origine provençale, les descendants de cette branche s’établissent dans cette région et principalement à Nice où ils y seront domiciliés de 1831 à 1948 malgré leur présence en région parisienne pour des raisons professionnelles. Cette branche s’éteint au mitan du XXe siècle.
La deuxième branche (branche redonnaise)
Divorcé fin 1799, Joseph-François épouse en deuxième noce Marie GELLOS. Le mariage est célébré en 1801 à Bayonne. C’est de cette union qu’est issue la deuxième branche. Cette branche s’établit tout au long du XIXe siècle à Plélan-le-Grand, une commune proche de Guer. Puis au fil des générations, la famille migre à Rennes, puis à Redon et ses environs (Avessac, Saint-Nicolas-de-Redon, et Redon). La vie moderne et les activités professionnelles de chacun entraînant naturellement une certaine dispersion, la seconde branche est aujourd’hui également présente en région parisienne (Yvelines (78), Seine-et-Marne (77), Val-de-Marne (94) et Val-d’Oise (95)), et dans les départements des Côtes-d’Armor (22), d’Eure-et-Loir (28), du Finistère (29), de l’Hérault (34) et du Morbihan (56).
La troisième branche (branche nantaise)
En 1806, après le décès de sa seconde épouse, Joseph-François se remarie à Marie Emilie DORN. La famille DORN est originaire de Nantes et cette branche s’y fixe dans les années 1820 avec quelques attaches en Vendée (85) puis en Mayenne (53). Comme pour la deuxième branche, la vie moderne et les activités professionnelles de chacun ont naturellement entraîné une dispersion géographique. De ce fait, la troisième branche est aujourd’hui principalement présente en Ile-de-France (Paris (75), Yvelines (78), Hauts-de-Seine (92) et le Val-de-Marne (94)) et dans les départements de Seine-Maritime (76), de la Mayenne (53) et de l’Ille-et-Vilaine (35).